samedi 22 août 2009

Interlude

Un mot s’accroche là, juste au coin des lèvres.
Les sourires s’esquissent puis s’estompent,
Ton soupir s’éveille et ton souffle qui s’égraine...
Retombe las, comme une caresse…
La pendule détraque et ça me laisse de marbre,
Ton regard est un rempart qu’il est bon de vouloir dépasser,
Les étoiles filent et il me plait à regarder le pollen qui s’envole comme une neige d’été…

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